Bienvenue chez les transports DUARIG

Bienvenue chez les transports DUARIG

On ne réussit pas tout seul une entreprise, DUARIG Transports c’est une équipe, elle a besoin d’être soudée et tirée dans le même sens. On ne veut pas être trop nombreux, on veut être efficace et fier de ce qu’on fait, simplement être fier de notre métier. Si tu te lèves le matin, sans trop forcer pour aller au boulot (pour ne pas dire content !!), la journée est déjà presque terminée et tu ne la verras pas passer.

Tous les matins, c’est un échange d’informations par messagerie : “Bonjour ici Jarcieu … Dates, températures, prix du GO à la pompe et une pensée philosophique avant la question de confiance: La Position (Géographique) … SVP MERCI?

Certains en rient, d’autres s’en tapent, beaucoup apprécient… Mais le but est de communiquer, de savoir et de comprendre pour pouvoir au mieux optimiser la journée de travail. DUARIG Transports veut donner une autre image de la profession, redonner gout aux jeunes de faire ce métier par passion, passion du voyage, passion du Camion, passion de l’indépendance, respect et tolérance de tout ce qui fait notre quotidien : les clients qui crient, insatisfaits, les touristes, les gendarmes, les collègues de travail, les fainéants dans les bureaux… Parfois juste un sourire, un mot, un regard, et tout peut être différent.

DUARIG Transports veut des Epicuriens, des vrais, qui ne se prennent pas la tète, ne se la racontent pas trop, et respectent tout ceux qui les entourent. LA VIE ne mérite pas qu’on se la complique mais mérite d’ètre vécue sans trop se la compliquer. Avec de l’optimisme, de la tolérance et du respect, on va respirer et vivre beaucoup mieux…

ZEN DUARIG n’a pas de concurrents mais des confrères.

DUARIG ne fait pas grève car DUARIG calcule et respecte.

DUARIG est contre toute personne que gène la liberté des autres qui souvent ne sont pas concernés par le débat.

Alors place au show et comme disait Robin Williams dans Le Cercle des poètes disparus  : “OH CAPITAINE MON CAPITAINE… IL FAUT VIVRE L’INSTANT PRESENT A FOND.”